Ma psychiatre me parlait de certains paradoxes chez les psychotiques. Ces derniers peuvent être très angoissés pour des choses futiles, comme par exemple de sortir et d'aller faire des courses et à un autre niveau, le vécu d'un deuil, où les schizos réagissent sans s'effondrer et bien au contraire, parvienne à ressentir de petites émotions et pas un effondrement total. J'ai vécu cela avec le décès de ma maman, il y a presque 6 ans.
Quand je vois aujourd'hui, l'angoisse qui m'a saisie toute la journée par rapport à un problème avec ma voiture qui a besoin d'être réparée. Il n'y a rien à faire, j'ai très mal dormi par rapport à cela, alors que la solution n'est finalement pas si compliquée.
Heureusement le soir, tout semble tomber, et je vis une joyeuse indifférence par rapport à toutes les contrariétés.
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