Si les sciences humaines ne peuvent parvenir aux mêmes certitudes que d’autres sciences de la nature, elles ont mises en évidences certaines facettes du comportement, de la pensée et de la vie en société de l’être humain, au travers de recoupements dûment établis et confirmées de manière scientifique ce que cependant beaucoup avaient constaté naguère.
Aujourd’hui on connait mieux les troubles psychiques chez un homme en analysant son passé et bien souvent son enfance. Cependant les limites à l’investigation psychologique ne peuvent tout dire de l’homme et spécialement de sa liberté à partir seulement d’un conditionnement aussi important soit-il. La liberté se manifestant dans la conscience en adhérant à l’obéissance ou non par rapport par exemple à une parole à dire ou à cacher.
La psychologie ne peut par exemple tout disculper et effacer d’un coup le péché chez l’homme. Nous sommes tous des pécheurs et donc pas toujours des victimes, car enfin pourquoi Dieu envoya son fils Jésus (qui signifie sauveur) si ce n’est pour nous guérir en profondeur et donc toucher notre cœur.
Jésus n’est pas un psychologue au sens du mot « gestionnaire » de nos vies. D’autre part certaines conduites dites sociales, ne sont pas toujours bonnes, et ne peuvent faire références en tant que morales. Les sciences humaines nous apprennent à mieux vivre et comprendre nos frères et sœurs et donc de développer l’indulgence et la longanimité sur la terre entre les uns et les autres.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire