Ouverture aux autres, dialogue, travail, repas mangés ensemble, c'est tout un, cela devient de plus en plus naturel pour moi. Je regrette néanmoins le fait de ne plus être créatif comme il y a quelques années, là je rentre dans le moule "du savoir vivre", "bonjour Madame, il fait beau aujourd'hui..." "Et les enfant monsieur, comment vont-ils ?". D'autre part, les bouffes bien arrosées avec les amis ont fait place à un boire neutre, soit les eaux ici et là et autre coca-cola. Ce dernier restant pour moi, le meilleur substitut à l'alcool, mais alors bonjour la dépendance et cela même sous forme light.
Je veux revenir à la foi d'autre part, et je n'hésite pas à lire des revues très catholiques et bien des documents sur le site du Vatican. Je ne peux pas vivre, sans cette étoile qui a illuminé tant de vies et que l'on appelle le Christ. Alors bien sûr avec la maladie psychique, il est nécessaire de mettre des limites en beaucoup de domaines de pratiques spirituelles, comme la durée de la prière et si possible de prier à une bien fixée. Pour ma part, c'est avant de dormir, mais les 5 première minutes après le lever sont favorables à interpeller le grand barbu. En ce moment, il me tarde de préparer un document traitant de la dépression et la foi. C'est un sujet délicat, difficile à traiter et pourtant qui peut permettre à bien des personnes croyantes ou non, à se sortir de leur maux. Pour ma part, je cherche un document de la revue famille chrétienne, qui traite de la souffrance psychique qui m'avait beaucoup interpellé, mais bon je ne le trouve plus, mais bon "cherchez et vous trouverez" dit le Christ.
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